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Nicolas Bedos n’aime pas Israël

nicolas bedos | 8 novembre 2010

lundi 8 novembre 2010

Un littéral suicide médiatique, où l’humoriste flingue le shoah business et en met une couche sur l’Etat (?) d’Israel, devant Finkielkraut et Elisabeth Lévy, trouvé sur agoravox.fr. Pour ceux qui veulent voir la chronique en entier, allez-voir la vidéo plus bas (à partir de 1min48), d’ailleurs dépêchez-vous avant que l’équipe de bénévoles bossant gratos pour Youtube et Dailymotion s’occupe de la faire supprimer. Pour les autres, voici le résumé textuel :

Au départ, l’humoriste oriente son papier sur la critique d’un film récent, Elle s’appelait Sarah, film utilisant avec excès, comme tous ses semblables, « la mémoire de la shoah afin de renflouer les caisses lacrymales du cinéma français », grâce bien entendu au « devoir de mémoire, qui dispense au passage le cinéaste de faire preuve du moindre talent, et lui permet de se hisser vers le million d’entrées en raflant les écoliers d’aujourd’hui pour les parquer de force dans des salles de cinéma pédagogiques ».

Et Bedos de poursuivre, avec encore plus de brio et d’audace : « Jeudi je fais un nouveau rêve, celui dans lequel je pourrais dégueuler sur Netanyahou et sur la politique menée par l’Etat d’Israël sans que personne ne me traite d’antisémite (…) ou d’antisémite inconscient qui, au fond de lui, n’ose le dire consciemment mais rêve de voir pendus : Patrick Bruel, Primo Lévy, Pierre Bénichou et ce qui reste d’Ariel Sharon (…) moi qui suis tellement con que je n’ai pas saisit cette notion très subtile selon laquelle s’indigner devant une politique honteuse c’est vouloir du mal à tous les juifs de la planète ».

Au départ, l’humoriste oriente son papier sur la critique d’un film récent, Elle s’appelait Sarah, film utilisant avec excès, comme tous ses semblables, « la mémoire de la shoah afin de renflouer les caisses lacrymales du cinéma français », grâce bien entendu au « devoir de mémoire, qui dispense au passage le cinéaste de faire preuve du moindre talent, et lui permet de se hisser vers le million d’entrées en raflant les écoliers d’aujourd’hui pour les parquer de force dans des salles de cinéma pédagogiques ».

Et Bedos de poursuivre, avec encore plus de brio et d’audace : « Jeudi je fais un nouveau rêve, celui dans lequel je pourrais dégueuler sur Netanyahou et sur la politique menée par l’Etat d’Israël sans que personne ne me traite d’antisémite (…) ou d’antisémite inconscient qui, au fond de lui, n’ose le dire consciemment mais rêve de voir pendus : Patrick Bruel, Primo Lévy, Pierre Bénichou et ce qui reste d’Ariel Sharon (…) moi qui suis tellement con que je n’ai pas saisit cette notion très subtile selon laquelle s’indigner devant une politique honteuse c’est vouloir du mal à tous les juifs de la planète ».



Nicolas Bedos Israël / Suicide Médiatique en Direct
envoyé par 54fiorentino54. - L’info video en direct.


Voir en ligne : Nicolas Bedos n’aime pas Israël

Messages

  • Nicolas Bedos, n’est pas seulement le fils de Guy. C’est un jeune homme d’un grand talent qui dit avec un grand sourire et un humour décoiffant ce qu’il est habituellement interdit de dénoncer sur les plateaux de télévision : le chantage à l’antisémitisme et l’instrumentalisation de la Shoah. Ce serait bien le diable si Ghozlan et Alliot-Marie ne trouvent pas matière à une petite plainte en visionnant cette vidéo ?

    Il parait que ce jeune homme de talent, dramaturge et metteur en scène, est l’animateur, depuis la rentrée, de l’émission de Franz Olivier Giesbert sur France 2, tous les vendredi soir à 23 H 10. Ce qui donne pour une fois envie de se mettre devant le petit écran, en espèrant qu’il y gardera son franc parler.

    http://www.europalestine.com/spip.php?article5580

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