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Trafic de pesticides et trafic de drogues, même combat ?

Sophie Chapelle | bastamag.net | lundi 18 mars 2013

lundi 18 mars 2013

 Trafic de pesticides et trafic de drogues, même combat ?
Sophie Chapelle | bastamag.net | lundi 18 mars 2013
 Le cannabis social club français une option saine et sûre.
Yann Bianchetti | newsring.fr | samedi 16 mars 2013





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Trafic de pesticides et trafic de drogues, même combat ?
Sophie Chapelle | bastamag.net | lundi 18 mars 2013

Fin février, les agents de l’Office national de la chasse et les gendarmes ont mis fin à un trafic de pesticides illégaux en Midi-Pyrénées. Une molécule interdite et mortelle – le carbofuran – était importée clandestinement d’Espagne, causant des ravages parmi la faune sauvage [1]. Le trafic de pesticides est un marché lucratif et en pleine croissance. Dans plusieurs pays européens, plus du quart des produits phytosanitaires en circulation proviennent de réseaux illégaux, estimait Europol. D’après cette organisation chargée de faciliter l’échange d’informations entre les polices au sein de l’Europe, ce commerce serait organisé par des réseaux criminels très structurés et professionnels. « Les trafiquants ont développé des réseaux d’approvisionnement complexes, et se servent de certaines entreprises pour camoufler leurs activités », déclarait Europol il y a un an.

Le faible risque [2] combiné à un bénéfice élevé ferait du trafic de pesticides« un secteur à croissance rapide de la criminalité organisée ». Qui générerait plusieurs milliards d’euros de bénéfices par an, selon Europol. « Par son organisation, le marché des pesticides illégaux peut être comparé au marché des stupéfiants », souligne Ulrich Vollmer, de l’Association of European Businesses, qui regroupe des entreprises européennes et russes.

Ces molécules toxiques contrefaites, achetées 5 à 10 % moins cher que les substances autorisées, menacent directement la santé des agriculteurs, des consommateurs et de l’environnement. La France est au cœur de ce trafic. 60 % des rivières et 45 % des nappes phréatiques du quart sud-est de la France sont polluées par six pesticides interdits depuis 2003, rapporte l’Agence de l’Eau Rhône-Méditerranée et Corse. « Leur présence dans les eaux courantes est la preuve d’un usage actuel, bien qu’illicite », ajoute t-elle. Face à cette déferlante de pesticides illicites, 700 événements à travers toute la France sont planifiés du 20 au 30 mars dans le cadre de la semaine pour les alternatives aux pesticides.

Notes

[1] Lire l’article du Parisien.

[2] La contrefaçon est punie de trois ans de prison et 300 000 € d’amende. Pour une mise sur le marché d’un produit interdit, il en coûte deux ans d’emprisonnement et 75000 € d’amende.





Le cannabis social club français une option saine et sûre.
Yann Bianchetti | newsring.fr | samedi 16 mars 2013

Nous proposons une alternative a beaucoup de problèmes liés au cannabis en France. A savoir, le trafic, le problème de santé publique lié aux produits de mauvaise qualité (coupé avec divers produits pour augmenter le bénéfice par les trafiquants), la prévention inefficace de l’état qui assiste impuissant a une très forte augmentation de la consommation surtout chez nos jeunes. Le cannabis social club français prévoie une réunion entre consommateurs et producteurs majeurs, amis ou proches (petites structures), pour obtenir un produit saint et moins onéreux. (produits du marché noir frelatés et hors de prix entre 5 et 10 euros le gramme). Nous proposons d’adapter la production à la consommation pour éviter toutes dérives. Nous couperont ainsi l’herbe sous le pieds des trafiquants. Nous nous engageons dans une vraie prévention de proximité (et non une désinformation peu crédule mené par l’état). Enfin nous ne demandons que la paix entre tous, l’égalité, et la liberté de consommer du cannabis a des fins thérapeutiques ou récréatives (auto-thérapeutiques) comme d’autre consomme de l’alcool (à des fins récréatives) ou du tabac (à aucune fin) Renseignez vous auprès du Cannabis social club français au travers de l’association de soutient des "amis du CSCF" http://cscf.eu ou sur facebook.

Nôtre porte parole Dominique Broc est la cible depuis peu de l’état qui souhaite surement étouffer le mouvement. Nous menons donc tous ensemble une action de désobéissance civile pour imposer le CSCF et démarrer dès que possible la lutte contre la mafia, l’aide aux malades, la prévention, et une meilleure utilisation d’un produit saint et BIO. Parce que nous avons déjà vu trop de mort lié au trafic, trop de malades souffrirent inutilement, trop de jeunes méconnaître les mauvais effets du joint, et trop de "shit" coupé avec des matières très dangereuses pour la santé.

Nous avons besoin du soutient de tout les indignés.


Yann Bianchetti



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