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14 janvier 2013 : Georges Abdallah est toujours en prison !

liberonsgeorges.over-blog.com | lundi 14 janvier 2013

mardi 15 janvier 2013

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| liberonsgeorges.over-blog.com | lundi 14 janvier 2013,

image liberation georges ibrahim abdallah

LE MINISTÈRE DE L’INTÉRIEUR BLOQUE

LA LIBÉRATION

DE GEORGES IBRAHIM ABDALLAH.

 

Le 21 novembre 2012, un avis favorable à la libération de Georges Ibrahim Abdallah a été donné par le tribunal d’application des peines, conditionné par un arrêté d’expulsion signé par le ministre de
l’intérieur.

 Aujourd’hui, 14 janvier 2013, M. Valls n’a toujours pas signé cet arrêté, retardant ainsi la libération de notre
camarade.

 Le
prochain acte de cette farce judiciaire aura lieu le 28 janvier.

La vengeance politique se poursuit : l’État français, par l’intermédiaire de son ministre de l’intérieur, refuse d’accepter - après plus de 28 ans de prison - qu’il n’a pas réussi à faire plier Georges
Ibrahim Abdallah, 
combattant de la résistance libanaise et palestinienne, adversaire résolu et inflexible
des entreprises impérialistes et sionistes au Moyen-Orient.

Le Collectif pour la libération de Georges Ibrahim Abdallah appelle à la mobilisation la plus large
pour exiger l’application du droit au retour 
sans délai de notre camarade Georges Ibrahim Abdallah.


RASSEMBLEMENT

samedi 19 janvier 2013, à 15 heures
Place des Saussaies, 

Paris 8e (non loin du ministère de l’intérieur)

Rendez-vous métro Saint-Augustin (L9 / L14)


 

Collectif pour la libération de Georges Ibrahim Abdallah (CLGIA)
Paris, le 14 janvier
2013


Voir en ligne : 14 janvier 2013 : Georges Abdallah est toujours en prison !

Messages

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    Georges Ibrahim Abdallah : un nouveau report risque d’envenimer la contestation
    lorientlejour.com | vendredi 18 janvier 2013

    La décision sur la libération conditionnelle de l’ancien activiste libanais Georges Ibrahim Abdallah, ajournée au 28 janvier, pourrait être de nouveau reportée en raison d’un appel du parquet, a rapporté hier une source judiciaire à Paris. Lundi, le tribunal d’application des peines (TAP) de Paris, compétent en matière de terrorisme, avait décidé de reporter sa décision finale sur la demande de libération de cet ancien chef des Fractions armées révolutionnaires libanaises (FARL), incarcéré depuis 28 ans en France pour complicité d’assassinat de deux diplomates, en 1982. Il avait ajourné son jugement au lundi 28 janvier dans l’attente de la signature hypothétique d’un arrêté d’expulsion du territoire français du détenu. C’est cet ajournement que conteste le parquet. Son appel étant suspensif, s’il n’est pas examiné avant le 28 janvier, le TAP ne pourra, une fois de plus, trancher à cette date.
    La décision du parquet risque de renforcer les critiques des défenseurs du Libanais qui dénoncent l’obstruction de l’exécutif français à la remise en liberté de l’ancien activiste. Le Collectif pour la libération de Georges Ibrahim Abdallah a appelé à une manifestation samedi à proximité du ministère de l’Intérieur pour protester contre une « farce judiciaire ». Il dénonce, dans un communiqué, une « vengeance politique » de l’État français contre le militant propalestinien.

    À Beyrouth, la campagne internationale pour la libération de Georges Abdallah a organisé hier une manifestation devant l’Institut français de Saïda. Celle-ci a dégénéré en échauffourées entre les FSI et certains protestataires qui ont tenté d’écrire des slogans sur le mur de l’Institut.
    Les organisateurs ont publié par la suite un communiqué commentant les accusations selon lequelles les partisans du détenu libanais ont menacé de fermer les institutions françaises à Beyrouth. « Le travail normal des institutions françaises au Liban ne sera désormais plus possible, tant que Georges Ibrahim Abdallah est en détention », a fait savoir le communiqué. « Le cas de Georges Abdallah constitue une affaire nationale par excellence, et une cause de résistance contre le projet américain. Nous fermerons les portes de l’Institut aujourd’hui, et nous ferons de même encore longtemps si la France ne coopère pas. Nous ne vous permettrons pas de répandre votre culture tant que Georges Abdallah n’est pas libéré », a conclu le communiqué, qui a rappelé que la culture française appelait autrefois à la liberté et à l’égalité.

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