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9.2 millones de dólares + 18 mexicanos + seis camionetas + (rastros de) cocaína + "Televisa S.A. de C.V"...

lavozdelsandinismo.com & lexpress.fr & lemonde.fr | 9, 27 juillet & 18 de septiembre de 2012

mardi 18 septembre 2012

Fin août 18 mexicains transportant du matériel audiovisuel haut de gamme dans des vans avec le logo de TELEVISA (le géant mexicain de la désinformation et promoteur d’Enrique Peña Nieto) se sont faits prendre au Nicaragua. On y a trouvé 9,2 millions de dollars et des traces de cocaïne sur certains billets. Tous les membres du groupe avaient des cartes de journalistes de TELEVISA.

TELEVISA a tout d’abord essayé d’étouffer l’affaire faisant pression sur les médias nicaraguayens, puis a déclaré que les vans ne lui appartiennent pas et que ces mexicains ne sont pas des employés de TELEVISA. À présent il déclare qu’il a dénoncé ces mexicains pour falsification.

Récemment on a confirmé que les vans appartiennent bel et bien à TELEVISA et qu’aucune plainte pour le vol de ces vans n’a été présenté.
Il y a quelques jours Daniel Ortega avait déclaré : « Develamos el secreto de TELEVISA, TELEVISA es buena para las telenovelas ».

Voilà. Narco-institutions + narco-médias = la dictature parfaite.

Marina





- Medios mexicanos afirman que camionetas incautadas en Nicaragua pertenecen a Televisa
| lavozdelsandinismo.com | 18 de septiembre de 2012
- Mexique : manifestation devant une chaîne de télévision, accusée de parti pris

AFP | lexpress.fr | 27 juillet 2012

- Au Mexique, les manifestations hostiles au nouveau président se poursuivent
Anne-Gaëlle Rico | lemonde.fr | 9 juillet 2012


lavozdelsandinismo.com



Medios mexicanos afirman que camionetas incautadas en Nicaragua pertenecen a Televisa
| lavozdelsandinismo.com | 18 de septiembre de 2012

Las seis camionetas con logos de Televisa incautadas en Nicaragua están registradas en México a nombre de “Televisa SA de CV. Los 18 mexicanos detenidos que en ella viajaban, serán sometidos a juicio desde el próximo 3 de diciembre



Todos los vehículos incautados en Nicaragua con los logos de Televisa, pertenecen efectivamente a esta televisora mexicana, según afirmaron este martes medios de prensa de la nación azteca.

Según estos medios, todos los vehículos están registrados en el Distrito Federal, con direcciones que corresponden a la empresa, y ninguno ha sido reportado por robo hasta el momento.

MVS Noticias afirmó, por su parte, que posee documentos oficiales del Padrón Vehicular del Distrito Federal para probar que las seis camionetas Chevrolet tipo Van están registradas a nombre de “Televisa, SA”. Cinco de los vehículos tienen registro con la dirección de “Chapultepec número 18, colonia Doctores, DF”, mientras el otro aparece anotado en otra dirección

La confirmación de estos datos sale a luz luego de que Televisa anunciara en un comunicado el pasado 12 de septiembre que había presentado una denuncia de hechos ante la PGJDF por la posible falsificación de documentos “para hacer parecer” que vehículos usados en la actividades delictivas sean de su propiedad. La PGJDF confirmó la noche del jueves 13 que la demanda fue presentada el 30 de agosto.

Los seis vehículos fueron confiscados por la Policía Nacional de Nicaragua el pasado 20 de agosto durante el operativo en un puesto fronterizo en el que fueron detenidos 18 mexicanos. En su interior se encontraban 9.2 millones de dólares en efectivo ocultos en compartimentos y maletas. Los análisis de la Policía Nacional de Nicaragua revelaron rastros de cocaína en el dinero incautado.

La Fiscalía Nacional de Nicaragua abrió una investigación por estos hechos por lavado de dinero, crimen organizado y tráfico de drogas. Los detenidos declararon entonces ser “periodistas” de la televisora mexicana.

En cuanto a los vehículos, Aristegui Noticias enumera tres de ellos como :

• GM Chevrolet tipo Van 2010. Placas 886XCR, número de serie 1GC2GTBG1A1135600

• GM Chevrolet tipo Van 2010. Placas 165 XCC, número de serie 1GC2GTBG5A1106150

• GM Chevrolet tipo Van 2011. Placas 571-XXD, número de serie 16CZG9CG5B1127061

En las últimas horas, Televisa presentó también un documento legal ante la Fiscalía Nacional de Nicaragua, en el que rechaza que los vehículos detenidos sean de su propiedad, y niega que las placas correspondan a “algún automotor de la empresa”. También afirma que no tiene corresponsales permanentes de noticias en Nicaragua.

Juicio contra mexicanos será el próximo 3 de diciembre

El lunes tres de diciembre iniciará el juicio oral y público contra los 18 ciudadanos mexicanos que ingresaron al país haciéndose pasar como periodistas de la televisora mexicana Televisa.

Según El 19 Digital, el Juez Julio César Arias ratificó además la medida cautelar de prisión preventiva para todos los acusados por los delitos de lavado de dinero, tráfico de drogas y crimen organizado.

La audiencia inicial comenzó con la presentación de intercambio de pruebas de parte del representante del Ministerio Público, Rodrigo Zambrana, quien hizo un relato cronológico de los acontecimientos que permitieron detener a estos 18 mexicanos, quienes se contradijeron en las versiones que dieron a las autoridades migratorias del puesto fronterizo Las Manos, localizado al norte del país.

Arias consideró que el intercambio de pruebas reúne todos los requisitos de ley y que las mismas son convincentes para presumir los delitos antes señalados.



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MEXICO - Des centaines de manifestants, étudiants et syndicalistes, encerclaient vendredi le siège de la principale chaîne de télévision du Mexique Televisa, accusée d’avoir favorisé Enrique Peña Nieto, vainqueur contesté de l’élection présidentielle du 1er juillet.



Mexique : manifestation devant une chaîne de télévision, accusée de parti pris

AFP | lexpress.fr | 27 juillet 2012


Les manifestants ont passé la nuit de jeudi à vendredi dans des tentes montées devant le siège de Televisa, protégé par des groupes de policiers. 

La manifestation a été convoquée par le mouvement étudiant #YoSoy132, apparu dans le courant de la campagne électorale, avec l’appui de syndicats et d’organisations de gauche pour protester contre les supposées irrégularités du Parti révolutionnaire institutionnel (PRI) d’Enrique Peña Nieto. 

Le PRI, au pouvoir au Mexique entre 1929 et 2000, est accusé d’avoir procédé à des achats massifs de votes et d’utilisation illicite de fonds publics. Il est reproché à Televisa d’avoir mené une campagne médiatique destinée à favoriser le retour du PRI au pouvoir. 

Les manifestants ont annoncé leur intention de maintenir leur "encerclement pacifique" jusqu’à vendredi soir pour empêcher l’entrée du personnel, au moment de la transmission de l’inauguration des Jeux olympiques de Londres. 

Jusqu’à présent le groupe de télévision a diffusé normalement les programmes de ses chaînes. 

Selon la police, quelque 7.000 manifestants avaient participé jeudi soir au début de la protestation mais quelques centaines seulement ont passé la nuit devant le siège de Televisa. De nouveaux manifestants devraient les renforcer pendant la journée. 

"Televisa et TV Azteca (la deuxième chaîne mexicaine) sont le visage le plus visible et le principal instrument de l’oligarchie qui gouverne ce pays, des pouvoirs de fait qui, en fonction de leurs intérêts, imposent ou retirent des gouvernants", a déclaré au début de la manifestation un représentant du mouvement étudiant créé en mai dernier. 

Les partis soutenant le candidat de la gauche, Andres Manuel Lopez Obrador, contestent devant le Tribunal fédéral électoral le résultat de l’élection du 1er juillet qui a vu arriver en tête Enrique Peña Nieto avec 38,2% des voix devant M. Lopez Obrador. Le tribunal doit en principe se prononcer sur ces contestations avant le 6 septembre. 

La plupart des commentateurs doutent de la possibilité d’une annulation du résultat des élections sur le plan légal, mais M. Lopez Obrador, qui a recueilli 31,6% des voix, soit 3,3 millions de voix de moins que M. Peña Nieto, a estimé jeudi soir que le Mexique devait se préparer à avoir "un président intérimaire". 

Par


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Au Mexique, les manifestations hostiles au nouveau président se poursuivent
Anne-Gaëlle Rico | lemonde.fr | 9 juillet 2012

18 000 personnes ont manifesté samedi à Mexico, pour protester contre l'élection de Enrique Pena Nieto

L’Institut fédéral électoral (IFE) mexicain a beau avoir annoncé officiellement la victoire d’Enrique Peña Nieto, dimanche, les manifestations hostiles continuent. Des milliers de personnes sont descendues dans les rues tout au long du week-end dans plusieurs grandes villes mexicaines pour protester contre l’élection du candidat du PRI (Parti révolutionnaire institutionnel), qui marque pour eux le retour de la corruption et du clientélisme. Les manifestants accusent en outre Enrique Peña Nieto de ne pas avoir respecté les lois régissant la campagne électorale et d’avoir "acheté des voix".

Quelque 18 000 personnes ont manifesté à Mexico, samedi, plusieurs milliers à Monterrey, grande ville du nord-est du Mexique, et également à Guadalajara, dans l’ouest du pays. Partout, les slogans étaient les mêmes : "Non au retour du PRI, Peña Nieto dehors !", "La démocratie est morte", "Ils peuvent couper les fleurs, pas le printemps".

A Mexico, certains manifestants arboraient le masque des Anonymous, d’autres portaient sur la tête une boîte faisant office de poste de télévision pour protester contre Televisa, la plus grande chaîne de langue hispanique, qu’ils accusent de partialité. "Nous voulons la démocratie, pas des feuilletons", proclamait également une pancarte, en référence à Angelica Rivera, la femme de Peña Nieto, qui est une actrice populaire de telenovela.

YO SOY 132, LA CONTESTATION À VISAGE DÉCOUVERT

Dans la foule, beaucoup de jeunes, mais également des organisations syndicales et des étudiants, se revendiquent du mouvement "Yo soy 132", accusé par le PRI d’être à l’initiative des actions de contestation.

"Yo soy 132" ("Je suis le 132e") est né le 11 mai dernier, alors que Enrique Peña Nieto, alors en campagne, se rend à l’université ibéro-américaine, une école privée de Mexico. Le favori des sondages, qui est venu pour séduire la jeunesse de la classe moyenne, est accueilli par des étudiants en colère qui lui lancent des chaussures et crient "Fuera, fuera" ("dehors, dehors").

Le candidat, forcé d’interrompre son discours, part sous les huées. Les images de l’incident se répandent sur les réseaux sociaux, et l’équipe de campagne de Peña Nieto tente alors de minimiser l’événement, accusant les agitateurs de ne pas être des étudiants, mais des personnes payées par l’opposition pour perturber le meeting. Relayées par les chaînes de télévision locales, ces accusations poussent 131 étudiants à mettre en ligne une vidéo où ils témoignent à visage découvert en donnant leur nom et leur numéro d’étudiants.

DISTRIBUTIONS DE BONS D’ACHAT

"Dans la foulée, se crée le mouvement baptisé ’Yo soy 132’, un mouvement hostile au système, qui dénonce les grands médias et notamment la chaîne Televisa, qui a ouvertement fait campagne pour le candidat du PRI", explique George Couffignal, ancien directeur de l’Institut des hautes études de l’Amérique latine. "Pour cette élection, l’opposition était organisée : des milliers d’observateurs ont surveillé les bureaux de vote. Les manifestants ne contestent pas la légalité du scrutin, mais plutôt le nom respect des lois électorales et accusent le PRI d’avoir acheté des voix".

Le parti, qui a gouverné le Mexique sans discontinuer de 1929 à 2000, aurait notamment distribué des millions de bons d’achat valables dans la chaîne de supermarchés Soriana et dépensé environ 49,09 millions de dollars pour ses frais électoraux, un montant largement supérieur au seuil légal (21,7 millions de dollars).

Lire : Pourquoi l’alternance au Mexique a profité au PRI

Andres Manuel Lopez Obrador, surnommé "AMLO", qui a, selon les résultats officiels, recueilli 31,6 % des voix contre 38,2 % pour Enrique Peña Nieto, a d’ailleurs annoncé dimanche qu’il contesterait devant le tribunal électoral le résultat de l’élection. Le candidat de gauche et ancien maire de Mexico tente de récupérer le mouvement de contestation, mais les leaders de Yo soy 132 ont rappelé qu’ils resteraient une force politique "indépendante et critique".

En 2006, Lopez Obrador avait déjà dénoncé une fraude dans le scrutin présidentiel, perdu par 0,56 % de différence avec l’actuel président sortant, Felipe Calderon. Ses partisans avaient bloqué pendant plus de six semaines le centre de la capitale.

Pour George Couffignal, spécialiste des mouvements politiques au Mexique, "la déception des jeunes est grande car ils ont l’impression qu’avec ce nouveau président, c’est le retour d’un parti connu pour ’ses petits arrangements’ à la limite de la légalité. Mais la contestation ne va pas prendre de l’ampleur. Soit l’opposition arrive à prouver que les règles électorales n’ont pas été respectées et arrive à faire invalider l’élection, ce qui est peu probable. Soit le résultat est entériné, et la contestation s’éteindra peu à peu." En décembre, Peña Nieto, qui a été gouverneur de l’Etat de Mexico entre 2005 et 2011, devrait alors prendre de facto le pouvoir, succédant au conservateur Felipe Calderon.




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Transmis par Marina
Tue, 18 Sep 2012 23:08:39 +0200


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  • Entrave à la distribution du mensuel "Zócalo" alors que la controverse postélectorale se poursuit au Mexique
    | rsf.org | lundi 3 septembre 2012

    (RSF/IFEX) - Le 3 septembre 2012 - La distribution de l’édition N°150 de la revue mensuelle Zócalo a été bloquée, au cours du mois d’août, par l’entreprise Intermex, propriété du groupe Televisa.

    Plus de 160 boutiques Sanborn’s n’ont pas été approvisionnées, comme elles auraient dû l’être, en exemplaires via Intermex. La direction de Zócalo, contactée par Reporters sans frontières, soupçonne fortement un lien entre ce boycott et les critiques formulées par le mensuel envers Televisa, en raison de sa couverture de l’élection controversée du 1er juillet 2012.

    “La non-distribution constitue une forme de censure, et elle n’est malheureusement pas la première du genre. En juillet dernier, durant la période du scrutin, deux éditions de l’hebdomadaire Proceso n’avaient pu atteindre les kiosques de la société Soriana, elle-même mise en cause dans des affaires de fraude électorale à l’avantage du Parti révolutionnaire institutionnel (PRI) dont est issu Enrique Peña Nieto, candidat déclaré vainqueur à la présidentielle du 1er juillet. Là encore, le journal avait vivement critiqué l’attitude de Televisa durant la campagne. Zócalo doit pouvoir récupérer ses exemplaires invendus et obtenir un dédommagement à la hauteur du manque à gagner”, a déclaré Reporters sans frontières.

    “Si elles sont avérées, les pressions éventuelles de Televisa sur les entreprises de distribution au détriment de certains médias représentent une atteinte caractérisée au pluralisme et une violation de la Constitution fédérale. Sommes-nous déjà revenus, avant même l’investiture présidentielle du 1er décembre prochain, à l’époque de la ’dictature parfaite’ où le pouvoir et ses soutiens économiques décidaient de ce qui pouvait être diffusé ou non ? Une enquête indépendante doit déterminer pourquoi Zócalo, comme avant lui Proceso, ont subi ces entraves”, a conclu l’organisation.

    Pour Carlos Padilla, directeur de Zócalo, il ne fait aucun doute que “la distribution de la revue a été suspendue à cause de sa Une, portant le titre ’La télévision fait-elle les présidents ?’, et illustrée d’un logo de Televisa en forme d’œuf de dinosaure, d’où sort la silhouette d’Enrique Pena Nieto. Egalement en raison de la ligne critique que la revue a toujours maintenue face au duopole télévisé [Televisa et TV Azteca se partageant l’espace télévisuel – ndlr]”. Proceso avait, précédemment, fait sa couverture sur un logo de Televisa ceint de l’écharpe présidentielle.

    Suite aux plaintes de lecteurs de Zócalo qui s’étonnaient de ne pas trouver l’édition du mois d’août dans les boutiques Sanborn’s, le personnel de la rédaction a appris, par Sanborn’s, qu’Intermex n’avait jamais livré les exemplaires. Intermex a alors tenté d’expliquer que son contrat avec Sanborn’s n’avait plus cours, un argument démenti par le Département des revues et cartes de Sanborn’s.

    Zócalo a exigé, le 27 août, de Francisco Sanchez, directeur des ventes d’Intermex, la réexpédition des exemplaires retenus dans ses points de vente depuis le 6 août. La réponse se faisait toujours attendre le 31 août, alors que les rédacteurs et collaborateurs de la revue manifestaient devant le siège de Televisa. Ce même jour, le Tribunal électoral du pouvoir judiciaire de la fédération (TEPJF) a officiellement entériné les résultats du 1er juillet.

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