Courrier adressé à Madame Marie Jeanne HUSSET, directrice de rédaction de « 60 millions de consommateurs »
Madame,
Votre numéro 473 de Juillet-Août 2012 comporte un article intitulé « Ces personnes malades des ondes ».
Les informations fournies par ce document n’ont qu’un rapport lointain avec la réalité des faits.
Le titre lui-même comporte une ambiguïté.
Les personnes touchées par l’E.H.S. ne sont pas victimes des ondes en général, mais d’un groupe très précis, celles émises par le groupe technologique de la téléphonie mobile qui, techniquement, s’appellent HYPER FRÉQUENCES PULSÉES.
Groupe dont le lien familial est celui d’une structure physique très particulière.
Dans les « fantaisies » du texte, nous ne relèverons que les principales :
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Ce que vous appelez « petite musique discordante » est en
passe de devenir un scandale sanitaire d’une ampleur équivalente à
celle de l’amiante. Elle-même innocentée pendant plusieurs
décennies par des cargaisons d’éminents experts.
Officiels.
La liste des mensonges officiels et des scandales sanitaires, plus que fournie et de généreuse rentabilité, est aujourd’hui de notoriété publique.
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Le terme « communément admis » est dépourvu de toute
précision scientifique.
Plusieurs biologistes, dont nul ne conteste la haute compétence et dont le plus connu est Fritz POPP, fixent le seuil d’action électromagnétique sur le vivant à de très faibles niveaux. Et précisent que ce qui agit est la structure du signal beaucoup plus que son intensité.
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Il y a des associations qui ne regroupent pas des malades mais des
personnes qui considèrent que la défense de la Santé Publique face
aux mensonges officiels fait partie de la citoyenneté.
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La citation de l’AFSSET est incomplète.
Ce texte pourtant rédigé sous la pression officielle reconnaît qu’un certain nombre de rapports concluant à divers types de toxicité ne peuvent être contestés.
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L’origine de la maladie ne relève pas du mot « MYSTERE »
évoqué dans la formule « un mystérieux syndrome ». Et
dans le voile à lever sur l’origine. Dans l’état réel des
connaissances, il n’y a plus aucun voile. Ou alors, le mot mystère
a un nouveau sens, celui de fric dissimulé.
L’E.H.S. a fait l’objet d’études médicales précises et détaillées.
Les blocages apportés à leur publication protègent le brouillard officiel, entièrement désintéressé.
Citons deux études qui sont accessibles en France :
• Les travaux de l’ARTAC sous la direction du Pr BELPOMME. Cités dans l’article.
• Une partie des travaux de Magda HAVAS.
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L’article comporte quelques mots du Docteur de SEZE.
Il confirme qu’il s’est appliqué à lui-même les œillères du groupe privé nommé ICNIRP. En reprenant à son compte la fable suivant laquelle les émissions électromagnétiques n’ont sur le vivant que des effets thermiques.
Pour proférer une énormité de ce calibre il faut prendre une grande éponge pour effacer au moins 80% des travaux scientifiques sur le sujet.
Nous ignorons si l’INERIS, Organisme dont le Docteur de SEZE est membre, entérine et valide cette conception selon laquelle on peut considérer inexistante une grande partie de la littérature scientifique en fonction de choix personnels.
Tout le monde sait qu’un cancer peut incuber plusieurs années, parfois nombreuses, avant de se manifester.
Il en est de même pour les pathologies dont le groupe téléphonie mobile est la cause.
L’épidémie est générale. Elle est en cours. Tout le vivant est attaqué.
Ce sont les plus fragiles chez qui dès maintenant elle se manifeste.
Ce serait pour nous une agréable surprise de voir publier ce texte.
Nous tenons à votre disposition les documents de toutes natures sur lesquels il est fondé.
…
Pour
lire la lettre envoyée au professeur en médecine nucléaire : AURENGO