2012, Odyssée de l’Espèce

Une Odyssée, c’est le récit d’un voyage généralement mouvementé, et rempli d’aventures singulières.

Alors que de nombreux scientifiques assurent que l’histoire de l’humanité a commencé en Afrique, se propageant ensuite dans le Monde, d’autres défendent la théorie d’une unique civilisation mondiale, utilisant la même écriture.

L’histoire de l’humanité remonte probablement à 8 millions d’années, date à laquelle apparaissent en Afrique, les premiers Australopithèques, (lien) mais c’est à partir de ce que les scientifiques ont appelé « le goulot d’étranglement  », qu’il est intéressant de tenter de comprendre notre Odyssée.

En effet, il y a 75 000 ans, un hyper volcan, le Toba, dont le cratère est le plus grand du monde, s’est réveillé, réduisant quasi à néant la population mondiale, à cause du souffre relâché (lien), les cendres du volcan faisant le tour de la planète et provocant la baisse drastique des températures. lien

Les 2000 rescapés, partant d’Afrique, auraient émigré vers l’Australie, l’Asie, le Moyen Orient… finissant par coloniser au fil des siècles la totalité de la planète. lien

D’ailleurs la revue «  Science » avait publié l’étude génomique la plus complète jamais effectuée, portant sur 938 individus, issus de 51 ethnies différentes, et a comparé 650 000 nucléotides faisant apparaitre qu’il n’existe qu’une race, et 7 groupes biologiques, (lien) ce que confirmait Howard Cann, de la fondation Dausset, déclarant : «  tous les hommes descendent d’une même population d’Afrique noire, qui s’est scindée en 7 branches au fur et à mesure du départ de petits groupes, dits fondateurs. Leurs descendants se sont retrouvés isolés par des barrières géographiques favorisant ainsi une légère divergence génétique  ». lien

L’étude affirme que « 6 milliards d’humains possèdent un génome à 99,9% identique » et que notre ancêtre commun vient d’Afrique. lien

Ces 7 groupes humains sont les suivants : Africains sub-sahariens, Moyen Orientaux/méditerranéens, Européens, Asiatiques du Sud/Centre, Est-Asiatiques, Océaniens et Amérindiens. lien

Voila qui ne va pas faire les affaires des racistes de tout poil, d’autant que, brassage des groupes aidant, facilité par des voyages de plus en plus accessibles au plus grand nombre, le métissage finira par ne refaire qu’un seul groupe biologique, ce qui est une bonne nouvelle pour l’humain, le métissage étant le meilleur rempart contre l’appauvrissement génétique. lien

Par ailleurs, il est de plus en plus probable qu’il y a 12 400 ans, un continent important, l’Atlantide, disparaissait au fond des flots de l’Atlantique, engloutissant par la même occasion une civilisation très en avance sur son temps. lien

Il faut remarquer la troublante ressemblance qu’il y a entre Agadir, au Maroc, et Cadix, en Espagne, puisque la racine du nom de ces deux villes est identique : Gadeiros, un roi Atlante, avait appelé sa ville Gaderias (lien) facile à rapprocher de « Agadir  », quant à Cadix, l’antique Gades, (lien) c’est aussi Gadeira en grec ancien (lien), preuve acceptable de la réalité de l’Atlantide.

Et puis, il y a 2000 ans, Diodore appelait Atlantes, les Berbères vivant en Afrique du Nord, (lien) et d’après Charles Tissot dans sa « Géographie comparée de la Province Romaine d’Afrique », une tribu Atlante vivait au pied de l’Atlas. lien

Ensuite, on peut supposer que ce continent se prolongeait jusqu’aux Acores, soit sur plus de 1600 km, puisqu’une chaine sous-marine de montagnes volcaniques sépare en deux l’Océan Atlantique (lien) et que Platon dans « le Timée » évoquait au sujet de l’Atlantide, un très grand continent, « plus grand que la Libye et l’Asie (p3) » positionnant son extrémité devant le détroit de Gibraltar (lien) même si certains limitent l’Atlantide aux Canaries. carte

Un autre continent, l’empire de Mu, aurait connu le même sort que l’Atlantide, à la même époque.

En effet, il y a 12 000 ans, l’empire de Mu se serait englouti dans les profondeurs de l’Océan Pacifique. lien

Un peuple, « les Jomons  », ancêtres des Japonais, serait issu de ce continent ; c’étaient des chasseurs-cueilleurs, à l’opposé d’un monde qui se sédentarisait. lien

Connus pour avoir été parmi les premiers potiers du Monde, il y a au moins 12 500 ans, ce peuple ne cesse d’intriguer.

Chassant avec un arc et des chiens, péchant avec harpons, hameçons, ou filets plombés, ils pratiquaient déjà la culture du riz, stockant fruits secs et graines dans des silos souterrains. lien

C’est le moment d’évoquer les tablettes Naacal, datées d’environ 12 000 ans, découvertes en 1880 par le colonel James Churchward décrivant le continent englouti de Mu, ce qui a été confirmé par l’archéologue William Niven.

Pour Niven et Churchward, le jardin d’Eden est bien le continent de Mu, peuplé de 64 millions d’individus, qui auraient fondé, il y a 70 000 ans, une civilisation bien plus avancée que la notre.

Ce continent s’étendant sur 8000 km, depuis le Nord d’Hawaï jusqu’aux iles Fidji d’une part, et l’ile de Pâques d’autre part, avait été occupé par un peuple qui aurait colonisé la Terre, avant de disparaître, suite à un cataclysme, il y a 12 000 ans. carte

La totalité du livre de James Churchward et David Hachter Childress, publié en 1926 (the lost continent of Mu) est sur ce lien.

Churchward avait rencontré auparavant le voyageur et écrivain Auguste Le Plongeon, (lien) qui, traduisant des textes mayas, en conclut que les survivants de Mu furent aussi à l’origine de la civilisation Maya. lien

D’ailleurs, sur plusieurs grosses pierres découvertes en Equateur en 1984, est gravé le dessin d’un vaste continent, l’empire de Mu. lien

L’Atlantide et l’Empire de Mu auraient donc connu le même sort, quasi au même moment, il y a 12000 ans, (lien) laissant comme rescapés les Mayas d’un coté, et les Jomons de l’autre.

Ajoutons-y la découverte sur des pierres ou des poteries aux 4 coins du monde, de la même écriture, (lien) appelée pré-sanscrit, la plus ancienne des écritures connues, autant en Amérique du Sud, qu’au large de l’ile de Yonaguni, près du Japon, sur la partie enterrée des fameux Moaïs (photo) de l’ile de Pâques (lien), et ailleurs. lien

Le chercheur Australien, Klaus Dona s’est penché sur ce qu’il a appelé « l’histoire cachée du genre humain ».

Il a d’abord constaté que les pyramides n’étaient pas l’apanage de la seule Egypte et que l’on en trouvait dans chaque continent, preuve possible de l’existence d’une civilisation mondiale. lien

En effet, il existe à 25 mètres soux la mer, au large de l’ile de Yonaguni, (lien) une pyramide de 200 m sur 30 m, un ensemble gigantesque de pierres taillées, (lien) (vidéo) d’escaliers, de rues, de statues, qui ne peuvent, d’après le professeur Masaaki Kimura, être le fruit du hasard. lien

Mais, si nous sommes tous (ou presque) les descendants des 2000 rescapés, probablement noirs, de l’explosion de l’hyper volcan Toba, il y a 75 000 ans, responsable d’une quasi extinction des espèces, (lien) que s’est-il passé il y a 12 000 ans d’assez violent pour faire disparaitre d’un seul coup, au même moment, l’Atlantide et l’empire de Mu ?

C’est le moment d’évoquer l’hypothèse Sithylemenkat.

Ce cratère, long de 12,4 km pour 500 mètres de profondeur, découvert en 1987 grâce au satellite Landsat 2, serait du à la chute, il y a 12 000 ans, d’une météorite, qui devait avoir 500 mètres de diamètre. lien

(Par comparaison, la chute, il y a 65 millions d’années au Mexique d’une météorite d’environ 10 km de diamètre, formant le cratère dit de « Chicxulub  » de 250 km de long responsable probable de la disparition des dinosaures, nous donne une idée des dégâts qu’aurait pu provoquer la météorite du Sithylemenkat. lien)

L’écrivain et ingénieur Otto Muck, a même avancé dans son livre (le secret de l’Atlantide) une date très précise : le 5 juin de l’année 8498 avant notre ère, précisant même à 20h, soit il y a 10 510 ans. lien

L’énergie cinétique libérée lors de l’impact a été de 10²° joules, soit suffisamment de violence, pour faire disparaitre l’Atlantide et Mu. lien

En tout cas il a provoqué l’extinction simultanée de millions d’animaux, dont les restes datés au carbone 14 remontent tous à environ 12 000 ans. lien

On pourrait aller plus loin, en évoquant la légende du peuple Hopi narrée dans le livre de Joseph F. Blumrich « Kâsskara et les Sept Mondes » lequel s’est basé sur le témoignage du chef Hopi, Ours Blanc.

J.F. Blumrich n’est pas n’importe qui : il a notamment travaillé à la conception de Skylab pour la NASA, a reçu en 1972 la médaille « performance exceptionnelle Nasa » et a dirigé la « systems layout branch » jusqu’en juillet 1974, avant de nous quitter en 2002. lien

La légende Hopi affirme que leurs ancêtres habitaient le continent Mu, qu’ils appelaient Kâaskara, qu’ils connaissaient l’Atlantide, avec qui ils étaient en conflit, et que lors de l’effondrement du continent Mu, ils furent sauvés grâce aux Kachinas, des êtres venus de l’espace, (masque Kachina) utilisant ce qu’ils appelaient des « boucliers volants  », des vaisseaux « sans moteur comme les avions  » volant dans « un champ magnétique  ».

Légende qui peut faire sourire, pourtant personne n’ignore l’existence de cette céramique découverte entre Equateur et Bolivie ressemblant étonnamment à une combinaison spatiale (photo), tout comme ces statuettes en bronze japonaises (photo), et quid de ces maquettes égyptiennes datant de 2 siècles avant notre ère, représentant un avion (photo), ou de ce bijou bolivien en or (photo) qui pourrait être l’image d’un engin volant miniature ?

(Plus d’éléments de réflexion sur ce lien)

Ours Blanc raconte que si le continent Mu s’enfonça dans les flots lentement, leur permettant de gagner leur 4ème monde, l’Amérique, il n’en fut pas de même pour l’Atlantide qui sombra brusquement. lien

Comme disait la grand-mère d’Ours Blanc, « quelqu’un a appuyé sur le mauvais bouton, et les 2 continents ont sombré » laissant la conclusion à mon vieil ami africain : « il vaut mieux s’en aller la tête basse que les pieds devant ».

L’image illustrant l’article provient de « abiggerworldyet.wordpress.com »

Merci à Corinne PY et aux internautes pour leur aide efficace