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Kadhafi adresse un testament au monde

| mcreveil.org | avril 2011

dimanche 3 juillet 2011

http://mathaba.net/news/qadhafi/i/mqaf333.jpg

The Leader of the Revolution

Kadhafi adresse un testament au monde


Traduit de
l’arabe en anglais par le
professeur Sam Hamod. Version anglaise plus bas.

Au
nom
d’Allah, le Clément, le
Miséricordieux…

Depuis
40 ans,
à moins que ce ne soit plus, je ne me souviens pas,
j’ai fait tout mon possible
pour donner aux gens des maisons, des hôpitaux, des
écoles, et, quand ils
avaient faim, je leur ai donné à manger.
À Benghazi, j’ai même
transformé le
désert en terres arables, j’ai tenu tête
aux attaques de ce cow-boy, Reagan,
quand il a tué ma fille adoptive orpheline. Essayant de me
tuer, il a tué à la
place cette pauvre enfant innocente.

Ensuite,
j’ai
épaulé mes frères et sœurs
d’Afrique avec de l’argent pour l’Union
africaine.

J’ai fait tout mon possible pour aider les gens à
comprendre le vrai concept de
démocratie, qui consiste en des comités
populaires dirigeant leur pays. Mais ce
n’était jamais assez, comme me l’ont dit
certains. Même ceux qui possédaient
une maison de 10 chambres, des costumes et du mobilier neufs,
n’étaient jamais
satisfaits. Ils étaient si égoïstes
qu’ils en voulaient toujours plus. Ils ont
dit aux Zuniens et aux autres visiteurs qu’ils avaient besoin
de « liberté » de
« démocratie » et n’ont jamais
réalisé qu’il s’agit
d’un système de panier de
crabes, où le plus gros bouffe les autres. Ils
étaient seulement ensorcelés par
ces mots, sans réaliser jamais qu’en Zunie, il
n’y a pas de médicaments
gratuits, ni d’hôpitaux gratuits, ni de logement
gratuit, ni d’enseignement
gratuit, ni non plus de nourriture gratuite, sauf quand les gens sont
obligés
de mendier ou de faire longtemps la queue pour avoir de la soupe.

Non,
peu
importe ce que j’ai réalisé ! Pour
certains ce n’était jamais assez. Mais les
autres savaient que j’étais le fils de Gamal Abdel
Nasser, le seul vrai
leader musulman arabe que nous avons eu depuis Salah-al-Din. Nasser
était sur
ses traces quand il a exigé le canal de Suez pour son
peuple, tout comme j’ai
réclamé la Libye pour mon peuple. J’ai
essayé de l’imiter pour garder mon
peuple libre de la domination coloniale, des voleurs qui nous
détroussent.

Maintenant,
je
suis attaqué par la plus grande force de
l’histoire militaire. Obama, mon
petit-fils africain, veut me tuer, priver notre pays de
liberté, nous priver de
la gratuité de nos biens : logements, médecine,
éducation, nourriture, et
remplacer tout ça par la grivèlerie à
la zunienne appelée « capitalisme. » Or,
nous tous, dans le tiers monde, savons ce que cela veut dire. Cela
signifie que
les multinationales dirigeront le pays, dirigeront le monde, et le
peuple souffrira.
Voilà pourquoi il n’y a pas d’autre
solution pour moi, je dois prendre mes
dispositions. Et si Allah le veut, je mourrai en suivant Sa Voie, la
voie qui a
rendu notre pays riche en terres arables, avec de quoi manger et la
santé, et
nous a même permis d’aider nos frères et
sœurs africains et arabes en les
faisant travailler ici avec nous, dans le Jamahiriya libyen.

Je
ne désire
pas mourir, mais si cela devait advenir, pour sauver cette terre, mon
peuple,
tous ces milliers de gens qui sont tous mes enfants, alors
qu’il en soit ainsi.

Que
ce
testament soit ma voix dans le monde. J’ai tenu
tête à l’agression des
croisés
de l’OTAN, résisté à la
cruauté, contrecarré la trahison ; je me suis
élevé
contre l’Occident et ses ambitions colonialistes, et, avec
mes frères
africains, mes vrais frères arabes et musulmans, je suis
dressé comme un phare
de lumière. Quand d’autres construisaient des
châteaux, je vivais dans une
maison modeste et dans une tente. Je n’ai jamais
oublié ma jeunesse à Syrte, je
n’ai pas stupidement dépensé notre
trésor national, et comme Salah-al-Din,
notre grand leader musulman qui sauva Jérusalem pour
l’Islam, je n’ai guère
pris pour moi-même…

En
Occident,
sachant pourtant la vérité, certains me
qualifient de « fou » de
« bizarre », ils
continuent de mentir, ils savent que notre pays est
indépendant et libre, et
non pas sous emprise coloniale, que ma vision, ma conduite, est et a
été
sincère et pour mon peuple, et que je me battrai
jusqu’à mon dernier souffle
pour garder notre liberté.

Puisse
Allah
Tout-Puissant nous aider à rester fidèles et
libres.

Colonel
Kadhafi Mouammar, Guide de la Révolution, 5 avril 2011

Original
 : mathaba.net/news/ ?x=626396

Traduction
copyleft de Pétrus Lombard

Traduit
de
l’arabe en anglais par le professeur Sam Hamod.

Note
du traducteur : Les dirigeants occidentaux savent la valeur
humaine de
Kadhafi, et le danger d’éveil de conscience du
public qu’elle représente. Voilà
pourquoi elle est soigneusement cachée et pourquoi tous les
grands médias
diabolisent Kadhafi.

On
peut constater en creusant un peu que pratiquement tout ce dont la
Libye a été
accusée a été soigneusement
tramé en Occident ou en Israël. Comme
d’habitude,
il s’agissait de coups montés. Comme
l’ont démontré les pièces
à conviction
pipées dans les procès, il est très
improbable que les attentats contre des
avions de ligne étaient des complots libyens.

Mathaba,
Mouammar Kadhafi, 13
avril 2011

 

Kadhafi’s Message to the World

Translated by
Professor Sam Hamod, Ph.D.

Recollections of My
Life : Col. Mu’ummar Qaddafi, The
Leader of the Revolution. April 5, 2011
.

In the name of Allah, the
beneficent, the merciful…

For
40 years, or was it longer,
I can’t remember, I did all I could to give people houses,
hospitals, schools,
and when they were hungry, I gave them food. I even made Benghazi
into farmland from the desert, I
stood up to attacks from that cowboy Reagan, when he killed my adopted
orphaned
daughter, he was trying to kill me, instead he killed that poor
innocent child.
Then I helped my brothers and sisters from Africa
with money for the African Union.

I
did all I could to help people
understand the concept of real
democracy
, where people’s committees ran our
country. But that was never
enough, as some told me, even people who had 10 room homes, new suits
and
furniture, were never satisfied, as selfish as they were they wanted
more. They
told Americans and other visitors, that they needed
“democracy” and “freedom”
never realizing it was a cut throat system, where the biggest dog eats
the
rest, but they were enchanted with those words, never realizing that in
America, there was no free medicine, no free hospitals, no free
housing, no
free education and no free food, except when people had to beg or go to
long lines
to get soup.

No,
no matter what I did, it was
never enough for some, but for others, they knew I was the son of Gamal
Abdel
Nasser, the only true Arab and Muslim leader we’ve had since
Salah-al-Deen,
when he claimed the Suez Canal for his people, as I claimed Libya, for
my
people, it was his footsteps I tried to follow, to keep my people free
from
colonial domination — from thieves who would steal from us.

Now,
I am under attack by the
biggest force in military history, my little African son, Obama wants
to kill
me, to take away the freedom of our country, to take away our free
housing, our
free medicine, our free education, our free food, and replace it with
American
style thievery, called “capitalism,” but all of us
in the Third World know what
that means, it means corporations run the countries, run the world, and
the
people suffer. So, there is no alternative for me, I must make my
stand, and if
Allah wishes, I shall die by following His path, the path that has made
our
country rich with farmland, with food and health, and even allowed us
to help
our African and Arab brothers and sisters to work here with us, in the
Libyan
Jamahiriya.

I
do not wish to die, but if it
comes to that, to save this land, my people, all the thousands who are
all my
children, then so be it.

Let
this testament be my voice
to the world, that I stood up to crusader attacks of NATO, stood up to
cruelty,
stood up to betrayal, stood up to the West and its colonialist
ambitions, and
that I stood with my African brothers, my true Arab and Muslim
brothers, as a
beacon of light. When others were building castles, I lived in a modest
house,
and in a tent. I never forgot my youth in Sirte, I did not
spend our
national treasury foolishly, and like Salah-al-Deen, our great Muslim
leader, who
rescued Jerusalem
for Islam, I took little for myself…

In
the West, some have called me
“mad”, “crazy”, but they know
the truth yet continue to lie, they know that our
land is independent and free, not in the colonial grip, that my vision,
my
path, is, and has been clear and for my people and that I will fight thttp://www.bbec.lautre.net/www/spip_truks-en-vrak/ecrire/?exec=articles_edit&new=oui#previsuEditero
my last
breath to keep us free, may Allah almighty help us to remain faithful
and free.

Recollections of My Life : Col. Mu’ummar Qaddafi, The Leader of the Revolution. April 5, 2011.
Translated by Professor Sam Hamod, Ph.D.


Copyright Col. Mu’ummar Qaddafi, – Mathaba.Net


Voir en ligne : Kadhafi adresse un testament au monde

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